Le Wokenrol est certainement l'un des produits les plus écologiques du moment.

Quand on sait que 80 % des déplacements urbains en voiture font moins d'un km avec le rejet correspondant de 100 g de CO2 au minimum, on comprend aisément pourquoi.
Pire, les transports en commun ne proposent pas d'alternance à ces petits déplacements. Ils ne passent que rarement aux bons endroits, celui du départ comme celui de la destination.

En divisant les temps de trajet à pied par trois, le Wokenrol permet d'assurer ces petits déplacements urbains.
Mieux, il assure «l'intermodalité» avec le métro ou le bus. Il permet aussi de se garer dans un parking en dehors du centre ville et d'y accéder en cinq minutes.

Dans chacun de ces cas de figure, c'est 100 g de CO2 économisé.

Mais je n'utilise pas l'écologie comme argument publicitaire. L'écologie n'est pas vendeuse.
En fait, le Wokenrol et les autres solutions des modes doux se développent par la contrainte.
L'exemple de Paris est significatif: Un plan de restriction de 40% de la circulation est en place pour les dix ans à venir.
Avec 2 300 000 voitures par jour actuellement, c'est environ 900 000 automobilistes qui vont se retrouver à pied.

Le Wokenrol a de beaux jours devant lui.


Retrouvez le Wokenrol dans l'émission Naturbis